De l'esprit des lois, Том 3P. Pourrat fres., 1831 |
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aleu antrustions auroit avoient avoit Baluze Bourguignons c'étoit capitulaire de l'an cause cens CHAPITRE Charlemagne Charles-le-Chauve choses citoyens clergé climat Clotaire combat judiciaire commerce comte couronne coutumes crime devoit différents doit doivent ecclésiastiques églises enfants esclaves établi états despotiques étoient étoit évêques faisoient faisoit femmes fideicommis fiefs françoise funestes Gaules gens Germains gouvernement Grégoire de Tours guerre hommes libres ibid juger justice l'abbé Dubos l'auteur L'ESPRIT DES LOIS l'usure législateur leudes liberté loi des Lombards loi salique lois barbares lois civiles lois romaines Lombards Louis-le-Débonnaire maires maires du palais mariages ment mœurs monarchie monnoie n'avoient n'avoit n'étoient nation nature paroît pays Pepin peuples politique polygamie pouvoient pouvoit preuve prince principe puissance punis règle religion chrétienne religion naturelle république Ripuaires rois Rome royaume seconde race seigneurs serfs seroit servitude source Spinosa suiv sujet terres teur tion toyens tributs usage utile vassaux Wisigoths
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Страница 244 - de la défense naturelle. Plus ils croiroient de« voir à la religion , plus ils penseroient devoir à « la patrie. Les principes du christianisme bien « gravés dans leur cœur seroient infiniment plus « forts que ce faux honneur des monarchies , ces « vertus humaines des républiques , et cette
Страница 258 - taire contre celui qu'a formé le libertinage, « celui où les deux sexes, se corrompant par les « sentiments naturels mêmes, fuient une union « qui doit les rendre meilleurs, pour vivre dans « celle qui les rend toujours pires? « C'est une règle tirée de la nature, que plus « on diminue le nombre des mariages qui
Страница 165 - à vivre avec les gens de sa cour. Il fut peut-être trop sensible au plaisir des femmes : mais un prince qui gouverna toujours par lui-même, et qui passa sa vie dans les travaux , peut mériter plus d'excuses. Il mit une règle admirable dans sa dépense ; il fit valoir ses domaines avec sagesse, avec attention, avec économie
Страница 261 - ser, le caractère, les passions, les fantaisies, les « caprices, l'idée de conserver sa beauté, l'embarras « de la grossesse, celui d'une famille trop nom« breuse, troublent la propagation de mille ma« nières, » Et dans l'autre il a dit : « L'obligation « naturelle qu'a le père de nourrir ses enfants a « fait établir le mariage, qui déclare
Страница 231 - Un « tel être pouvoit à tous les instants oublier son « créateur ; Dieu l'a rappelé à lui par les lois de la « religion : un tel être pouvoit à tous les instants « s'oublier lui-même ; les philosophes l'ont averti « par les lois de la morale : fait pour vivre dans la « société, il y pouvoit oublier les autres; les légis
Страница 56 - le cens des Romains, et qui ne forment pas une partie de ce domaine, étoient de pures usurpations. Je laisse les autres conséquences. Transporter dans des siècles reculés toutes les idées du siècle où l'on vit, c'est des sources de 1 M. l'abbé Dubos, et ceux qui l'ont suivi.
Страница 45 - histoire et de nos lois, il semble que tout est mer, et que les rivages mêmes manquent à la mer'. Tous ces écrits, froids , secs, insipides et durs, il faut les dévorer, comme la fable dit que Saturne dévoroit les pierres. Une infinité de terres que les hommes libres faisoient valoir 3 se changèrent en mainmortables
Страница 23 - Il est rare qu'il faille défendre une chose qui n'est pas mauvaise, sous prétexte de quelque perfection qu'on imagine. Il faut dans les lois une certaine candeur. Faites pour punir la méchanceté, des hommes, elles doivent avoir elles-mêmes la plus grande innocence. On peut voir dans la loi * des Visigoths cette requête ridicule par laquelle
Страница 286 - voudront que vous regardiez toutes les pierres que les fourmis ont mises sur votre chemin. Il n'ya ni science ni littérature qui puisse résister à ce pédantisme. Notre siècle a formé des académies, on voudra nous faire rentrer dans les écoles des siècles ténébreux. Descartes est bien propre
Страница 218 - que je n'ai jamais prétendu faire céder les inté« rets de la religion aux intérêts politiques, mais € les unir ; or pour les unir il faut les connoître. « La religion chrétienne, qui ordonne aux hom« mes de s'aimer, veut sans doute que chaque