 | Mably (abbé de) - 1795 - 578 страница
...ambassadeurs , il les traita d'autant plus favorablement, que la grande distance des lieux ne leur devoit pas faire craindre ses armes , et fit une ligue avec...sequins par an. Orchan leur promit sa protection , leur accorûa tous les priviléges et toutes les immunités qu'ils lui demandèrent, et signa , selon la... | |
 | abbé Gabriel Bonnot de Mably - 1795 - 570 страница
...ambassadeurs , il les traita d'autant plus favorablement, que la grande distance des lieux ne leur devoit pas faire craindre ses armes , et fit une ligue avec...raisonnables. Le tribut fut réglé à cinq cents sequfns par an. Orchan leur prorrit sa protection , leur accon.a tous les privilèges et toutes les... | |
 | Gabriel Bonnot de Mably - 1795 - 572 страница
...ambassadeurs , il les traita d'autant plus favorablement, que la grande distance des lieux ne leur devoit pas faire craindre ses armes , et fit une ligue avec...conditions fort raisonnables. Le tribut fut réglé à cinq cent* sequins par an. Orchan leur promit sa protection , leur accorda tous les priviléges et toutes... | |
 | Gabriel Bonnot de Mably - 1795 - 584 страница
...ambassadeurs , il les traita d'autant plus favorablement, que la grande distance des lieux ne leur devoit pas faire craindre ses armes , et fit une ligue avec ceux de Raguse , à des conditions fort îaison-nables. L« tribut fut réglé à cinq cents H a sequins par an. Orchan leur promit sa protection... | |
 | Charles-Marie d'Irrumberry comte de Salaberry - 1813 - 358 страница
...présens et lui rendirent des lettres par lesquelles ceux de Raguse lui mandaient qu'ils désir raient être ses tributaires, et fortifier leur faible république...Orchan leur promit sa protection, leur accorda tous les priviléges et toutes les immunités qu'ils lui demandèrent, et signa, selon la coutume de ce temps-là,... | |
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Raguse lui mandoient qu'ils désiroient devenir ses tributaires, et fortifier leur foible ré-i publique de son assistance et de sa protection. Le sultan reçut fort bien ces ambassadeurs , il les traita d'autant plus favorablement, que la grande distance... 