L'homme des champs; ou, Les géorgiques françoisesLevrault, an VIII, 1800 - 272 страница |
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... rameaux superbes , Et ses pieds qui voloient sur la pointe des herbes ? Il chancelle , il succombe , et deux ruisseaux de pleurs De ses assassins même attendrissent les cœurs . 3 Permettez - vous ces jeux sans en être idolâtre : N ...
... rameaux superbes , Et ses pieds qui voloient sur la pointe des herbes ? Il chancelle , il succombe , et deux ruisseaux de pleurs De ses assassins même attendrissent les cœurs . 3 Permettez - vous ces jeux sans en être idolâtre : N ...
Страница 54
... rameaux flétris A leur sol maternel vont mêler leurs débris ; Les monts rendent leurs eaux à la terre arrosée ; L'onde rafraîchit l'air , l'air s'épanche en rosée : Tout donne et tout reçoit , tout jouit et tout sert . Les cœurs durs ...
... rameaux flétris A leur sol maternel vont mêler leurs débris ; Les monts rendent leurs eaux à la terre arrosée ; L'onde rafraîchit l'air , l'air s'épanche en rosée : Tout donne et tout reçoit , tout jouit et tout sert . Les cœurs durs ...
Страница 57
... rameaux , de l'âge triomphans , Ont vu mourir le père et naître les enfans . Par ses sages conseils , conseils , sa bonté , sa prudence , Il est pour le village une autre providence : Quelle obscure indigence échappe à ses bienfaits ...
... rameaux , de l'âge triomphans , Ont vu mourir le père et naître les enfans . Par ses sages conseils , conseils , sa bonté , sa prudence , Il est pour le village une autre providence : Quelle obscure indigence échappe à ses bienfaits ...
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... , et quel doigt polisson D'une adroite boulette a visé son menton . Non loin croît le bouleau dont la verge pliante Est sourde aux cris plaintifs de leur voix suppliante , Qui , dès qu'un vent léger agite ses rameaux , PREMIER CHANT . 59.
... , et quel doigt polisson D'une adroite boulette a visé son menton . Non loin croît le bouleau dont la verge pliante Est sourde aux cris plaintifs de leur voix suppliante , Qui , dès qu'un vent léger agite ses rameaux , PREMIER CHANT . 59.
Страница 60
Jacques Delille. Qui , dès qu'un vent léger agite ses rameaux , Fait frissonner d'effroi cet essaim de marmots , Plus pâles , plus tremblans encor que son feuillage . Tel , ô doux Chanonat , sur ton charmant rivage , J'ai vu , j'ai ...
Jacques Delille. Qui , dès qu'un vent léger agite ses rameaux , Fait frissonner d'effroi cet essaim de marmots , Plus pâles , plus tremblans encor que son feuillage . Tel , ô doux Chanonat , sur ton charmant rivage , J'ai vu , j'ai ...
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Популарни одломци
Страница 176 - Yet he was kind, or, if severe in aught, The love he bore to learning was in fault; The village all declared how much he knew: 'Twas certain he could write, and cipher too: Lands he could measure, terms and tides presage, And e'en the story ran that he could gauge...
Страница 174 - Unskilful he to fawn, or seek for power By doctrines fashioned to the varying hour; Far other aims his heart had learned to prize, More bent to raise the wretched than to rise.
Страница 174 - Careless their merits or their faults to scan, His pity gave ere charity began.
Страница 174 - But in his duty prompt at every call, He watched and wept, he prayed and felt for all ; And, as a bird each fond endearment, tries, To tempt its new-fledged offspring to the skies, He tried each art, reproved each dull delay, Allured to brighter worlds, and led the way.
Страница 175 - The reverend champion stood. At his control Despair and anguish fled the struggling soul ; Comfort came down the trembling wretch to raise, And his last faltering accents whispered praise.
Страница 252 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Страница 175 - At church, with meek and unaffected grace, His looks adorn'd the venerable place; Truth from his lips prevail'd with double sway, And fools, who came to scoff, remain'd to pray.
Страница 174 - Near yonder copse, where once the garden smiled, And still where many a garden -flower grows wild; There, where a few torn shrubs the place disclose, The village preacher's modest mansion rose. A man he was to all the country dear, And passing rich with forty pounds a year...
Страница 175 - Beside yon straggling fence that skirts the way, With blossom'd furze unprofitably gay, There, in his noisy mansion, skilled to rule, The village master taught his little school. A man severe he was, and stern to view ; I knew him well, and every truant knew...
Страница 175 - To them his heart, his love, his griefs were given, But all his serious thoughts had rest in Heaven. As some tall cliff...