 | Pablo de Pebrer - 1839 - 466 страница
...vive et impétueuse, qui entraînait les peuples et lesravissai; une bardiesse extraordinaire qunnd il se vit soutenu et applaudi, avec un air d'autorité...qu'ils n'osaient le contredire ni dans les grandes cboses ni dans les petites >. ffist. des Pariat. destructeur des francbises castillanes ' : il était... | |
 | cardinal Louis François de Bausset - 1814 - 380 страница
...vive et impétueuse qui entraînoit les » peuples et les ravissoit. Une hardiesse extraor» dinaire, quand il se vit soutenu et applaudi, » avec un air d'autorité qui faisoit trembler de» vant lui ses disciples ; de sorte qu'ils n'osoient » le contredire ni dans les... | |
 | 1820 - 596 страница
...discours , une elo» quelice vive et impétueuse qui en» 'traînait, les peuples et les ravis» sait, une hardiesse extraordinaire » quand il se vit soutenu et applaudi, » avec un air d'autorité qui taisait » trembler devant lui ses disciples; » de sorle qu'ils n'osaient le contre» dire,ni dans... | |
 | Pablo Pebrer - 1834 - 446 страница
...dans ses discours, une éloquence vive el impétueuse, qui entraînait les peuples et lesravissai ; une hardiesse extraordinaire quand il se vit soutenu...contredire ni dans les grandes choses ni dans les petites ». Hist. des Variât. Tel est le caractère de cet homme extraordinaire dessiné par ses amis et par... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 354 страница
...le monde de sa léthargie; ce n'était » pas Luther qui parlait , c'était Dieu qui fou» droyait par sa bouche. Il est vrai qu'il eut de la » force...ni dans les grandes choses » ni dans les petites. Ce ne fut pas seulement le » peuple qui regarda Luther comme un prophète, » les doctes du parti... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1836 - 392 страница
...vive et impétueuse qui en" traînait les peuples et les ravissait ; une hardiesse extra" ordinaire, quand il se vit soutenu et applaudi, avec " un air d'autorité qui faisait trembler devant lui ses dis" ciples ; de sorte qu'ils n'osaient le contredire ni dans les " grandes choses ni dans les petites.... | |
 | Adolphe Peschier - 1836 - 454 страница
...véhémence dans les discours, éloquence vive et impétueuse , qui entraînait les peuples et les ravissait. Hardiesse extraordinaire .quand il se vit soutenu...applaudi, avec un air d'autorité qui faisait trembler ses disciples mêmes devant lui. » (1) Nous laisserons de côté chez Luther le controversiste et... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1837 - 390 страница
...ou plutôt le tonnerre ; c'est la fou« dre qui a tiré le monde de sa léthargie ; ce n'é« tait pas Luther qui parlait , c'était Dieu qui « foudroyait...ni dans les grandes «choses ni dans les petites. Ce ne fut pas seulett ment le peuple qui regarda Luther comme un « prophète, les doctes du parti... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 362 страница
...tiré le monde de sa léthargie; ce n'était » pas Luther qui parlait, c'était Dieu qui fou» droyait par sa bouche. Il est vrai qu'il eut de la » force...ni dans les grandes choses » ni dans les petites. Ce ne fut pas seulement le » peuple qui regarda Luther comme un prophète, » les doctes du parti... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1840 - 778 страница
...dans ses discours , une éloquence vive et impétueuse , qui entraînoit les peuples et les ravissoit; une hardiesse extraordinaire quand il se vit soutenu et applaudi , avec un air d'autorité qui faisoit trembler devant lui ses disciples : de sorte qu'ils n'osoient le contredire ni dans les grandes... | |
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Il est vrai qu'il eut de la force dans le génie, de la véhémence dans ses discours, une éloquence vive et impétueuse qui entraînait les peuples et les ravissait. Une hardiesse extraordinaire, quand il se vit soutenu et applaudi, avec un air d'autorité... 
