Mémoires. [With] Tables, 1754-1883, par A. Gasté, Том 10 |
Друга издања - Прикажи све
Чести термини и фразе
aliénés Argile assez bancs Bayeux Bon-Sauveur BORDEAUX calcaire calcaire oolithique Calvados Chapelle-Souquet Chinon chose cœur composés d'autres Delille Deshayes devant Dieu donner écoles ÉGISTHE élèves faciens misericordiam feldspathique Figurer fillatre forme genre goût grand-maître grès grès houiller hommes houiller imitateur instituteurs j'ai Jacques de Molay jeune Junon l'abbé de l'Epée l'abbé Jamet l'Académie l'auteur l'édition de Caen l'élève l'ode Lamouroux langue latin leçons main maison maître malades Malfillatre mémoire ment méthode Mode indé Mode indéfini morceaux mots Muets nom commun nombre objets odes oolithes ouvrage palinod pantomimes pape pensée père personne pièce poëme de Narcisse poésie poëte Port-en-Bessin poudingue premier préposition présente presque professeur prononciation religieuses Représenter sable Sallenelles scènes science séance semble sent seul Sicard Signe d'abstractif Signe d'adjectif Signe de l'abstractif Signe de nom signe du verbe silex sort Sourds sujet talent templiers terrain théorie des signes tion Tirésias traducteur traduction Troarn trouve Vénus versification Virgile voix
Популарни одломци
Страница 190 - L'HoMME a dit : les cieux m'environnent, Les cieux ne roulent que pour moi; De ces astres qui me couronnent, La nature me fit le roi ; Pour moi seul le Soleil se lève, Pour moi seul le Soleil achève Son cercle éclatant dans les airs; Et je vois, souverain tranquille, Sur son poids la terre immobile Au centre de cet univers ' . Fier mortel, bannis ces fantômes, Sur toi-même jette un coup d'œil.
Страница 199 - ... fondements. Ah ! malheureuse Babylone, Qui nous vois sans pitié traîner d'indignes fers ! Heureux qui, t'accablant des débris de ton trône, Te rendra les tourments que nous avons soufferts ! 138 Poésies de Malfilâtre.
Страница 192 - D'un air sombre s'avance et guide Les pas tardifs de Jupiter; Et son père, le vieux Saturne, Roule à peine son char nocturne Sur les bords glacés de l'éther.
Страница 198 - Chantez , disaient-ils , vos cantiques; Répétez-nous ces airs si vantés autrefois , Ces beaux airs que Sion , sous de vastes portiques , Dans les jours de sa gloire admira tant de fois.
Страница 226 - Discrètement, et d'une main habile. En écartant le feuillage mobile, L'œil et l'oreille avidement ouverts , Elle regarde , elle écoute au travers ; Ne peut qu'à peine , en ce petit asile , Trouver sa place, et craint de se montrer. Ne se meut pas, et n'ose respirer; Sait ramasser son corps souple et facile, Se promettant, durant cet entretien, D'épier tout , un mot , un geste , un rien : Un mot , un geste , un rien , tout est utile. Comme elle aussi , Vénus le savait bien.
Страница 246 - L'atteint, recule, et, de terre élancé, Forme cent nœuds, autour d'elle enlacé ; La tient, la serre; avec fureur s'obstine A l'enchaîner, malgré ses vains efforts, Dans les liens de deux flexibles corps ; Perce des traits d'une langue assassine Son...
Страница 248 - S'arme contre eux de sa dent menaçante, Perce les vents d'une corne impuissante, Bat de sa queue et ses flancs et les airs. Il court, bondit, se roule, se relève; Le feu 'jaillit de ses larges naseaux. A sa douleur, à ses horribles maux Les deux dragons ne laissent point de trêve : Sa voix, perdue en longs mugissements, Des vastes mers fait retentir les ondes, Les antres creux et les forêts profondes. Il tombe enfin : il meurt dans les tourments.
Страница 243 - Par un calme profond, fendant l'onde écumante, Le cou dressé, levant une crête sanglante, De leur tête orgueilleuse ils dominent les eaux ; Le reste au loin se traîne en immenses anneaux. Tous deux nagent de front, tous deux des mers profondes, Sous leurs vastes élans, font bouillonner les ondes.
Страница 244 - L'un près de l'autre ils glissent, et sur l'herbe Laissent, loin d'eux, de tortueux sillons; Les yeux en feu, lèvent, d'un air superbe, Leurs cous...
Страница 244 - A cet autel de gazons et de fleurs Déjà la main des sacrificateurs A présenté la génisse sacrée, Jeune, au front large, à la corne dorée. Le bras fatal, sur sa tête étendu, Prêt à frapper, tient le fer suspendu.