Essai de philosophie religieuseCharpentier, 1859 - 488 страница |
Друга издања - Прикажи све
Чести термини и фразе
absolue abstraite acte âme attributs de Dieu c'est-à-dire cartésien cause choses concept concevoir condition conscience conséquent contradiction corps créateur créer démontre Descartes déterminée développement dire distinction dit-il doute effet entéléchies Erdmann esprit essence étendue éternelle existe existence Fichte fini forme géomètre Hegel idéal idées imparfait indéterminé infi infini intel intelligence Kant l'absolu l'âme humaine l'entendement l'espace l'esprit humain l'essence l'éternité l'être parfait l'expérience l'homme l'idée de Dieu l'infini l'unité l'univers Leibnitz liberté libre libre arbitre limites logique lois lois de Kepler loppement lui-même Malebranche mathématiques Méditations ment métaphysique modes monades monde monieux morale mouvement mystère nature nécessaire nécessité Newton non-seulement notions objets panthéisme parfaite Pensée divine perfection phénomènes philosophie Plotin posé possible principe problème puissance Qu'est-ce qu'un raison pure réalité réel religion rien sagesse sais Schelling science scolastique sens sentiment serait seul simple sorte spéculative Spinoza substance suppose système tence théisme tion univers universelle vérité voilà volonté vrai
Популарни одломци
Страница 434 - Car, enfin, qu'est-ce que l'homme dans la nature? un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Страница 433 - Qu'un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des vapeurs...
Страница 433 - Qu'il y voie une infinité d'univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible ; dans cette terre, des animaux, et enfin des cirons, dans lesquels il retrouvera ce que les premiers ont donné ; et trouvant encore dans les autres la même chose sans fin et sans repos, qu'il se perde dans ces merveilles, aussi étonnantes dans leur petitesse que les autres par leur étendue...
Страница 434 - Nous connaissons qu'il ya un infini, et ignorons sa nature. Comme nous savons qu'il est faux que les nombres soient finis, donc il est vrai qu'il ya un infini en nombre. Mais nous ne savons ce qu'il est : il est faux qu'il soit pair, il est faux qu'il soit impair ; car, en ajoutant l'unité, il ne change point de nature ; cependant c'est un nombre, et tout nombre est pair ou impair (il est vrai que cela s'entend de tout nombre fini).
Страница 37 - Descartes a toujours et partout incliné à confondre deux choses profondément distinctes , l'entendement et la volonté. C'est sa doctrine expresse que la volonté et l'entendement sont identiques dans l'essence divine : « En Dieu, dit-il, ce n'est qu'un de vouloir et de connaître. » Et ailleurs : « C'est en Dieu une même chose de vouloir, d'entendre et de créer, sans que l'un précède l'autre, ne quidem ratione...
Страница 199 - Les perfections de Dieu sont celles de nos âmes, mais il les possède sans bornes : il est un océan, dont nous n'avons reçu que des gouttes : il ya en nous quelque puissance, quelque connaissance, quelque bonté; mais elles sont toutes entières en Dieu.
Страница 453 - Tout être organisé forme un ensemble, un système unique et clos , dont les parties se correspondent mutuellement, et concourent à la même action définitive par une réaction réciproque. Aucune de ces parties ne peut changer sans que les autres changent aussi ; et par conséquent chacune d'elles, prise séparément, indique et donne toutes les autres.
Страница 434 - ... l'homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d'où il est tiré, et l'infini où il est englouti.
Страница 18 - ... la toute-puissance de Dieu, nous devons juger que tout ce qu'il a fait a eu dès le commencement toute la perfection qu'il devait avoir...
Страница 211 - Mais lea machines de la nature .c'est-à-dire les corps vivants, sont encore machines dans leurs moindres parties jusqu'à l'infini. C'est ce qui fait la différence entre la nature et l'art, c'est-à-dire entre l'art divin et le nôtre.