Pièces relatives au dernier traité des puissances alliées avec la France

Предња корица
Les frères Wilmans, 1816 - 58 страница
 

Изабране странице

Друга издања - Прикажи све

Чести термини и фразе

Популарни одломци

Страница 2 - ... individuelle, mais non à la fois dans un même pays qui ne peut avoir en même temps deux souverains. Or , les puissances alliées n'ont fait ou cru ni l'une ni l'autre de ces deux choses. Elles ont considéré l'entreprise de...
Страница 13 - Ce serait complètement détruire toute idée d'égalité et de réciprocité entre les puissances, que d'ériger en principe que la France a pu sans difficulté étendre ses dimensions, acquérir des provinces, les réunir à son territoire par des conquêtes ou par des traités, tandis qu'elle jouirait seule du privilège de ne jamais rien perdre de ses anciennes possessions, ni par les malheurs de la guerre, ni par les arrangements politiques qui en résulteraient.
Страница 41 - ... eu à discuter; et il suffit qu'on sache qu'elles ont été proposées à des Français, pour qu'on doive en conclure que la nécessité, et la nécessité la plus indispensable, a pu seule les déterminer à y souscrire. Mais si, à l'exemple du Roi, que nous avons entendu, messieurs, à l'ouverture de votre session, avec cet accent de franchise et de bonté qui sont les traits...
Страница 13 - MM. les plénipotentiaires de France admettent cependant le principe des cessions relativement aux points que le traité de Paris avait ajoutés à l'ancienne France. Les soussignés ont de la peine à comprendre sur quoi cette distinction pourrait être fondée, et en quoi consisterait, sous le point de vue établi par les puissances alliées, la différence essentielle entre l'ancien et le nouveau territoire.
Страница 6 - TrèsChrétienne détruiraient ou altéreraient du moins cet équilibre, à l'établissement duquel les Puissances ont voué tant de sacrifices, d'efforts et de soins. Ce sont Elles-mêmes qui ont fixé l'étendue que la France devrait avoir.
Страница 3 - Elles l'ont rendu plus étroit en faisant entrer le Roi par son accession à ce traité dans leur alliance contre l'ennemi commun, car si l'on ne peut conquérir sur un ami, à plus forte raison ne le peut-on pas sur un allié; et qu'on ne dise...
Страница 7 - ... possible de douter que les monarques de l'Europe ne soient unanimes dans une circonstance où ce qui ne serait pas juste serait encore pernicieux? C'est donc avec la plus parfaite confiance que les soussignés ont l'honneur de soumettre aux souverains alliés les observations qui précèdent. Cependant, et malgré les...
Страница 3 - France, et conséquemment les droits qui lui appartiennent en cette qualité. Elles n'ont pas un instant cessé d'être avec lui dans des relations de paix et d'amitié, ce qui seul emportait l'engagement de respecter ses droits.

Библиографски подаци