His alter'd mien, as now the Saxon knight A cloud-form'd car, impatient of delay, Whilft loud around the winds tempeftuous roar. Now in a fea of billowy vapours toft, They urge their courfe, in tenfold darkness Again they rush amid the blaze of light, Woods, vales, and mountains burft upon their No time is theirs to mark each lovely view, When wayward Fancy's power breaft. ufurpes the hole. As on th' horizon's verge grew mifts arise. Valdandi there the gloomy warrior leaves; A milk-white fteed, by magic fram'd, beftri- And t'ward the lone abode its foot steps guides. Anhang Dour rig ́ne'. Da der Naum es erlaubt, so mag hier noch folgende freie französische Uebersehung oder Nachahmung der oben mitgetheilten Heroide Ovid's stehen, um fie sowohl mit dem Original, als mit der italianischen Ueberseßung, zus sammen zu halten. Ihr Verfasser ist Sebastien Marie, Gazon Deurrigne', von dem man auch eine franzdfische Uebersehung von Rapin's lateinischem Lehrgedicht, die Gärs ten, hat. Er schrieb noch verschiedne andre Heroiden, z. B. Dido an Aeneas, Heloise an Abelard, Phyllis an Des mophoon, und Penelope an Ulysses; die beiden lcgtern gleichfalls nach dem Ovid. ARIANE à THESÉE. NoN, il ne fut jamais Amant traître et fans foi, De tigre plus féroce et plus cruel que toi. Dourrigne', Lis cette Lettre, ingrat; elle t'est adressée, Près de toi, du fommeil j'y goûtois la douceur, Et de ta perfidie elle fut la complice. Les rayons de l'Aurore éclatoient dans les Et déja des Oifeaux les chants harmonieux re, Préoccupée encor d'un fonge plein d'appas, fe, Je cherche à mes cotés l'objet de ma tendreffe; Je me leve auffi-tôt furprise de ta fuite; Et dans le trifte état où je me vois réduite, Et Un mouvement plus doux fuccédant à ma`rage, Après avoir des yeux parcouru le rivage, Sur les bords dángéreux je dirige mes pas; Je vais, reviens fans ceffe, et dans cette Ile ari de, Le fable en vain s'oppofe à ma courfe rapide. L'Echo L'Echo même touché de ma douleur extrême, me; Et plus que toi fenfible à mes gémissemens, LA, d'un mont dont la cime eft presque inabor- Pendoit en précipice un roc inébranlable; ce, Entraîne un vent propice à ta lâche inconftance. Soit que je l'eusse vu, soit que mes fens trom Par une illufion fuffent alors frappés, A cet afpect funefte un froid mortel me glace: ce, Par de nouveaux accens j'implorois ton fecours, mes; Et trop d'espace enfin te féparant de moi, CEPENDANT ton Vaiffeau disparut, et mes yeux S'occuperent long-tems à pleurer en ces lieux: Loin du parjure Amant qui caufoit mon marty re? Dourrigne'. Tan |