| France - 1827 - 562 страница
...marques les plus touchantes de son amour; pourrai-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense ? Je ne crains donc rien...moi, mais je crains pour la France ; celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère,... | |
| Léonard Gallois - 1829 - 474 страница
...marques les plus touchantes de son amour; pourrai-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense ? Je ne crains donc rien...moi, mais je crains pour la France : celui qui vient allumer parmi nous les torches dé la guerre civile, y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère;... | |
| Benjamin Constant - 1829 - 426 страница
...soixuu» te ans, mieux terminer ma' carrière qu'eu mourant .» pojtr sa défense. , .i . ; .' ; » Je ne crains donc rien pour moi, mais je crains » pour la France : celui qui vient 'allumer' parmi »' nous les torches -de la guerre civile , y 'apporte » aussi le fléau de la guerre... | |
| Jean Baptiste H.R. Capefigue - 1831 - 498 страница
...marques les plus touchantes de son amour; pourrai-je à soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense? Je ne crains donc rien pour...moi , mais je crains pour la France. Celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère,... | |
| France - 1836 - 462 страница
...HOYAL. — toui -liantes de son amour; pourrai-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense ? Je ne crains donc rien...moi , mais je crains pour la France; celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1838 - 450 страница
...les plus touchantes de son amour : pourrais-je, à soixante ans, mienx. terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense ! » Je ne crains donc rien...; mais je crains pour la France ! celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile, y apporte aussi le fléau de la gnerre étrangère;... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1838 - 454 страница
...amour : pourrais-je , à soixante ans , mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense I » Je ne crains donc rien pour moi ; mais je crains pour la France t celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile, y apporte aussi le fléau de... | |
| France. Chambre des députés - 1844 - 560 страница
...marques les plus touchantes de son amour ; pourrai-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense? « Je ne crains donc rien...la France : celui qui vient parmi nous allumer les torches de la guerre civile, y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère; il vient remettre... | |
| Achille de Vaulabelle - 1847 - 484 страница
...les plus touchantes de son amour. Pourrais-je , à soixante ans , mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense ? « Je ne crains donc rien...moi, mais je crains pour la France. Celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère... | |
| abbe Antoine Eugene de Genoude - 1848 - 696 страница
...les plus touchantes de son amour, pourrais-je , à soixante ans , mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense! « Je ne crains donc rien...; mais je crains pour la France ! celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile, y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère;... | |
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