...le souverain qui se eroi. rait forcé d'obéir, et je m'en irai. « Je ne crains pas la pauvreté ; s'il « le fallait, je mangerais du pain noir • avec ma famille et mes fidèles ser• viteurs. • Ces réponses, comme on devait s'y attendre, ne firent qu'ajouter à l'irritation,...

...plaindrai le souverain qui se croira « forcé d'obéir, et je m'en irai. Je ne crains pas «la pauvreté; s'il le fallait, je mangerais du « pain noir avec ma famille et mes fidèles ser« M'teurs. Mais ne vous y trompez pas, je n'en « serai jamais réduit là. J'ai une autre ressource...

...de retirer les susbides accordés à la famille royale : « Je ne crains pas la pau» vreté, reprit le Roi ; s'il le fallait, je mangerais » du pain noir avec ma famille et mes fidèles ser» viteurs. Mais, ne vous y trompez pas, je n'en » serai jamais réduit là ; j'ai une autre ressource...

...pouvoir dire comme lui : Nous avons « tout perdu, fors l'honneur. » — « L'influence de Buonaparte s'étend sur toute l'Europe. N'est-il pas à craindre...crains pas la pauvreté, répliqua le roi; s'il le •• fnlloit, je mangeroisdu pain noiravec ma famille et mes <) fidèles serviteurs ; mais ne vous...

...pouvoir dire comme lui : Nous avant tout perdu, « fors Chonneur. » — « L'influence de Buonaparte s'étend sur toute l'Europe. N'est-il pas à craindre,...je mangerais du < pain noir avec ma famille et mes Qdèles serviteurs; mais ne vous y trompez pas, « je n'en serai jamais réduit là ; j'ai une autre...

...toute l'Europe. N'est-il pas à craindre qu'il ne force les souverains dont Votre Majesté reçoit les subsides à les lui retirer ' ? — Je ne crains pas la pauvreté, répliqua Louis XVIII. S'il le fallait, je mangerais du pain noir avec ma famille et mes fidèles serviteurs...