| Paul Eudel - 1883 - 592 страница
...Mariette ou les Crozat, mais M. Jourdain en personne : « Comme il se connais» sait fort bien en étoffe, il en allait choisir de tous les » côtés, les faisait...lui, et en donnait à » ses amis pour de l'argent. » (Molière, le Bourgeois gentilhomme, acte IV, scène 5.) Ce qui précède est le début de l'éloge... | |
| Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1884 - 186 страница
...qu'il a été marchand. i0 Covielle. Lui, marchand ? C'est pnre médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de is l'argent ? Monsieur Jourdain. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage... | |
| Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1884 - 144 страница
...marchand? C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort 25 obligeant, fort officieux, et, comme il se connaissait...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent ? M. JOURDAIN. Je suis ravi de vous connaître, afin que 30 vous rendiez ce témoignage-là, que mon... | |
| Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse - 1885 - 848 страница
...comme il se connaissait fort bien en éloffes, il en alloit choisir de tous les côlés, les faisoil apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent (I). Ce parti pris dénature singulièrement la vérité historique et enlève aux listes de Lafaille... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1886 - 972 страница
...est marchand, et pourrait bien être ce père de M. Jourdain, qui, s'y connaissant en étoffes, « en allait choisir de tous les côtés, les faisait...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent : » aussi bien, Dorante, l'ami peu scrupuleux de Dorimène, aura connu don Juan à la cour et profité... | |
| Jacques Parmentier - 1887 - 364 страница
...Lui, marchand? c'est pure medisance, il ne 1'a jamais ete. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il etait fort obligeant, fort officieux ; et, comme il se connaissait fort bien en etoffes, il en allait choisir de tous les cotes, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses... | |
| Eugène Veuillot - 1888 - 414 страница
...marchand ? Et n'at-il pas entendu, lui académicien et même lettré, la réponse si connue : Non! non! « Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux » et qu'ayant chez lui de bonnes marchandises, il « en donnait à ses amis pour de l'argent ». M. de Lourdoueix... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1849 - 396 страница
...Cov. Comment ? M. Jour. 11 ya de sottes gens qui me veulent dire qu'il a été marchand. étoffes, i. en allait choisir de tous les côtés, les faisait...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. Jour. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là que mon père était... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1890 - 1100 страница
...' Lui, marchand ? C'est pure médisance ; il ne l'a jamais été. Tont ce qu'il faisait, c'est qn'U s of the soul had left no perceptible trace behind tons les côtés, lee faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent." There... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1892 - 934 страница
..."Lui, marchand? C'est pure medisance: il ne 1'a jamais ctu. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il ctait d, are rules to which many wise and virtuous men have conformed, and ar etoffes, il en allait choisir de tous les c6tes, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses... | |
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