 Dans les affaires qui dérivent des contrats civils ordinaires, la loi ne doit point donner la contrainte par corps, parce qu'elle fait plus de cas de la liberté d'un citoyen que de l'aisance d'un autre. Mais , dans les conventions qui dérivent du commerce...  Oeuvres complètes de Montesquieu - Страница 207написао/ла Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799Пуни преглед - О овој књизи
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 458 страница
...voir combien on auroit tort de regarder les sciences comme incompatibles avec les affaires , surtout lorsqu'il fixe la juste idée de la liberté en fait...l'univers, savoir, de l'argent, des billets, des lettres de cbange , des actions sur les compagnies, des vaisseaux et des marchandises , gagne à faire le commerce,... | |
 | Joseph-Michel-Antoine Servan - 1822 - 640 страница
...d'un citoyen que « de l'aisance d'un autre ; mais dans les conven« lions qui dérivent du commerce, la loi doit « faire plus de cas de l'aisance publique que de « la liberté d'un citoyen. » Si dans son Esprit des Lois Montesquieu a distribué les vérités en germes, il faut aussi convenir... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 488 страница
...liberté d'un citoyen que de l'aisance d'un autre. Mais , dans les conventions qui dérivent du commerce , la loi doit faire plus de cas de l'aisance publique que de la liberté d'un citoyen ; ce qui n'empêche pas les restrictions et les limitations que peuvent demander l'humanité et la... | |
 | Jean Guillaume baron Locre de Roissy - 1824 - 1160 страница
...dans les conventions qui dérivent du commerce, cela est bien, parce que, comme l'a dit Montesquieu, la loi doit faire plus de cas de l'aisance publique , que de la liberté d'un citoyen ; mais ce grand homme observe aussi que; dans les affaires qui dérivent des contrats civils ordinaires... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 534 страница
...liberté d'un citoyen que de l'aisance d'un autre. Mais, dans les conventions qui dérivent du commerce , la loi doit faire plus de cas de l'aisance publique que de la liberté d'un citoyen ; ce qui n'empêche pas les restrictions et les limitations que peuvent demander l'humanité et la... | |
 | Société agricole et industrielle de l'arrondissement de Saint-Étienne - 1827 - 614 страница
...conventions qui dérivent du commerce , » dit Montesquieu, (esprit des lois, liv. 2o, chap. i5), » la loi doit faire plus de cas de l'aisance publique que » de la liberté d'un citoyen». Ce ne serait donc pas s'écarter de l'esprit de la législation que d'admettre , pour le paiemement... | |
 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1834 - 572 страница
...liberté d'un citoyen que de l'aisance d'un autre. Mais, dans les conventions qui dérivent du commerce , la loi doit faire plus de cas de l'aisance publique que de la liberté d'un citoyen ; ce qui n'empêche pas les restrictions et les limitations 1 PJutarque, au traité, Qu'il ne faut... | |
 | 1837 - 586 страница
...liberté d'un citoyen que de l'aisance d'un autre. Mais dans les conventions qui dérivent du commerce , la loi doit faire plus de cas de l'aisance publique que de la liberté d'un citoyen ; ce qui n'empêche pas les restrictions et les limitations que peuvent demander l'humanité et la... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1838 - 826 страница
...d'un citoyen que de l'aisance d'un autre •*. Mais , dans les conventions qui dérivent du commerce, s batailles : il ne croit pas que la grandeur souveraine doive être gênée dans l : ce qui n'empêche pas les restrictions et les limitations que peuvent demander l'humanité et la... | |
 | France sénat - 1854 - 694 страница
...liberté d'un citoyen que de l'aisance d'un autre. Mais dans les conventions qui dérivent du commerce , la loi doit faire plus de cas de l'aisance publique que de la liberté d'un citoyen. » En effet, Messieurs, les actes, si multipliés, si rapides, qui constituent la vie commerciale,... | |
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